1965-1970


1965

Cette page donne la parole à l'un des pionniers de la M.J.C. et non des moindres : René SORO. Il est qualifié de "père fondateur" de l'association et reste, depuis le tout début, très fidèle et très attentif à son évolution.
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1966

C'est l'année de la déclaration de l'association à la Préfecture de la Côte d'Or. Jean Develay est élu comme premier Président. C'est le moment des premières sorties Plein-air et des négociations pour trouver un autre local. Le Conseil de Maison se structure.
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1967

La M.J.C. fait l'acquisition de ses nouveaux locaux. Une baraque est achetée à l'entreprise des Travaux souterrains en charge de construire la Z.U.P. Le bâtiment est installé rue Edouard Herriot, à côté du nouveau collège. Arthur Fleurot en devient à son tour Président. Les activités se développent. Les premières subventions arrivent et le Conseil d'Administration s'étoffe.
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1968

Révolution tranquille à Chenôve. Les pavés sont pour Paris. Le Comité des Fêtes se restructure et organise son premier carnaval intersociétés dans lequel la M.J.C. s'investit totalement. La Fédération Départementale des M.J.C. voit le jour à Beaune. C'est le début du réseau des maisons en Côte d'Or. A Chenôve, l'assemblée générale confirme le très fort engouement de la population autour de la M.J.C.
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1969

L'atelier théâtre animé par Simone Malsan s'engage dans une très belle création : "La Louve" de Giovanni Verga. Les premières formations civiques sont promues par Bernard Monniot et le foyer accueille de plus en plus de jeunes issus des quartiers Mermoz et Herriot.
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1970

Les activités sont en forte expansion. La bibliothèque voit le jour au sein de la M.J.C. avec plus de 400 volumes. Le 3è grand Corso anime toute la ville en février tandis que les initiatives culturelles se multiplient au sein de l'association. La section Tennis de Table organise un méga tournoi à la salle des fêtes. Carnet rose à la M.J.C. : la toute nouvelle section Tennis maintenant que la Ville vient de construire deux beaux terrains en stabilisé.
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7 commentaires:

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    1. PS: Pourquoi, dans mon premier message, ai-je cité "Jean Luc Sordet" que j'ai connu par ailleurs, alors que je voulais évoquer Gaby Blondeau?!!! Un effet de mon âge, sans doute

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  2. Que de souvenirs! J'y étais, puis-je dire fièrement, même si c'était dans l'ombre des plus actifs, des décideurs...Le théâtre avec Simone Malsan, l'éducation civique avec Bernard Monniaux, étudiant en droit comme moi, quelques bals, le carnaval (je me souviens y avoir chanté à tue-tête dans le défilé "yellow submarine"- qui repasse de temps en temps sur mon ordi, me rappelant tant de souvenirs-, un séjour en Corse grâce à Robert Mozziconnacci, avec lequel je m'étais lié d'amitié, les amours platoniques pour certaines jeunes filles de la MJC...Que de bons souvenirs, malgré quelques autres, tristes aussi, que j'essaie de me cacher...Merci à René, à Jean Luc et à tous ceux (édiles et responsables divers) qui m'ont ainsi donné de si belles occasions de sortir du cocon familial où, par tradition, habitude et facilité, je restais enfermé...
    PS René a oublié de citer le nom de notre curé de l'époque: Père Gabriel Jacquin sous l'égide duquel j'avais été "enfant de chœur", une autre façon, certes plus stricte, de quitter pour quelques heures de distraction (au bon sens du terme) la "cité Amora" et la famille de 5 enfants où je vivais.

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    1. Mon ami Joel
      Ce n'est pas un oubli mais j'avoue que je ne fréquentais pas ce brave curé qui pour la petite histoire il me semble avait "souhaité regrouper" la MJC naissante avec la JOC,

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  3. Dans mon premier commentaire j'ai évoqué à tort "Jean Luc Sordet" en lieu et place de Gaby Blondeau.
    Que l'un et l'autre veuillent bien excuser les effets de l'âge!!!

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  4. Ah l'âge!!! Je voulais parler de Gaby Blondaux (det non Blondeau)!!!!!

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  5. Pour en savoir plus sur l'histoire des rapatriés d'Algérie, cliquez sur les liens suivants :

    http://www.ina.fr/video/2434021001004

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